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Vieux 28/10/2015, 17h38   Afficher une version imprimable   (1)
fethi d'alger

 
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Que faire si l'on trouve un oiseau mort ?

Que faire si l'on trouve un oiseau mort ?
Même mort, un oiseau peut constituer une source d'informations pour les ornithologues, les vétérinaires et les aménageurs.

source : ornithomedia
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Goéland à ailes grises (Larus glaucescens), Seattle, état de Washington (États-Unis).
Photographie : Tom Harpel / Wikimedia Commons

On trouve généralement peu de cadavres d'oiseaux dans la nature car ceux-ci se recherchent souvent un abri quand ils sont affaiblis, leurs corps sont rapidement mangés par les nécrophages puis ils se décomposent. Mais que faire quand on en trouve ? Même mort, un oiseau constitue en effet une source d'informations pour les ornithologues : espèce inconnue, rare ou inhabituelle dans une région donnée, individu bagué, parasité, contaminé par un virus, mazouté, empoisonné, ayant heurté une voiture, un bâtiment, une ligne à haute tension... Il est donc utile de signaler la découverte de cadavres aux personnes ou aux organismes concernés. Dans cet article, nous vous rappelons les précautions à prendre lors que vous trouvez un oiseau mort et nous vous indiquons quand et à qui transmettre vos données. Les organismes à contacter indiqués dans cet article sont valables pour la France, mais il existe bien sûr des associations ou structures équivalentes dans d’autres pays, notre objectif étant avant tout de vous donner des repères.
S'assurer que l'oiseau est bien mort

Vérifiez avant toute action que l'oiseau est bien mort et pas seulement étourdi. Certaines espèces peuvent aussi simuler la mort pour décourager un prédateur (lire La thanatose et l'immobilité tonique chez les oiseaux).

Ne pas toucher un cadavre à mains nues

Il est préférable de ne pas toucher les cadavres d’oiseaux à mains nues. Si vous devez transporter un oiseau mort, placez-le dans un sac étanche (en plastique). Il conviendra de se laver soigneusement les mains (eau savonneuse) après la fin des manipulations.
Transmettre sa découverte
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Moineau domestique (Passer domesticus) mort, Bourg-Saint-Maurice (Savoie), France.
Photographie : Tiia Moto / Wikimedia Commons

La découverte d'un cadavre peut être une source d'informations : c'est particulièrement le cas des espèces rares, accidentelles, peu communes, discrètes (nocturnes ou vivant cachées) ou au plumage aberrant, mais toutes ont un intérêt. Il faut noter le nom (si vous le pouvez), le lieu, la présence d’une bague, les circonstances de la découverte et prendre si possible une photo.
La présence de certaines espèces dans une zone donnée n'est parfois connue que via un cadavre : par exemple, un Piranga à dos rayé (Piranga bidentata) trouvé mort en 2011 à McAllen constitue la seule donnée de l'espèce pour le Texas. Pour les oiseaux nocturnes ou très discrets comme les engoulevents, les chouettes ou les marouettes, un cadavre peut aussi constituer un indice de présence dans une région donnée.
Vous pouvez transmettre vos observations aux associations ornithologiques ou aux musées. Afin de faciliter la collecte de données ornithologiques, y compris d’oiseaux morts, des sites web collaboratifs ont été créés, comme eBird.org en Amérique du Nord, Bto.org en Grande-Bretagne, Observations.be en Belgique, Waarneming.nl aux Pays-Bas, Clicnat en Picardie (France), Naturefrance.fr (France) ou le réseau Visionature en France (Ornitho.fr), en Allemagne (Ornitho.de), en Italie (Ornitho.it) et en Catalogne (Espagne) (Ornitho.cat). Pour indiquer que l'oiseau que vous avez découvert est mort, un module "mortalité" est proposé sur plusieurs de ces sites.
Qui contacter si l'oiseau est bagué/marqué ?

Chaque année, des centaines de milliers d'oiseaux sont bagués ou sont munis d'une marque sur l’aile ou le bec. Il est important de signaler la présence d’une bague sur un oiseau mort et de transmettre cette information en notant la date, l'heure, le lieu, l'espèce (si vous pouvez l’identifier), le type de marque (plastique, métallique), sa couleur, son emplacement sur l'oiseau (patte gauche ou droite, aile, bec), le code (chiffres et lettres) et la façon dont il est mort (si pouvez la déterminer). Vous pouvez prendre une photo et éventuellement collecter la bague. Certains sites web, comme Euring pour l'Europe, recensent tous les programmes de baguage et peuvent vous aider à identifier l'organisme qui a posé la bague pour le contacter, comme le C.R.B.P.O. en France, la Station ornithologique suisse ou le Centre Belge de Baguage. Ceux-ci vous indiqueront en retour le lieu et de la date du baguage et vous connaîtrez ainsi l'âge de l'oiseau que vous avez trouvé, le trajet qu'il a parcouru et sa durée. Vous aurez ainsi contribué à la recherche ornithologique.

Découverte de cadavres "non suspects"

La loi française concernant la manipulation, la détention et le transport d'un animal sauvage est assez complexe et contraignante. Dans le cas de la découverte d'un ou de plusieurs cadavres d'oiseaux semblant "sains" :

s'il s'agit d'une espèce protégée au titre de l'article L 411-1 du Code de l'Environnement, ce qui est le cas de la majorité des oiseaux en France, il faut informer un agent compétent (Office National de la Chasse de la Faune Sauvage, Gendarmerie, Police Nationale...) pour pouvoir le déplacer. En cas de force majeure, un simple accord téléphonique suffira;
s'il s'agit d'une espèce chassable, l'animal pourra être transporté ou enterré ou déposé en déchetterie pour incinération. La découverte ponctuelle de cadavres d’oiseaux a priori non suspects ne donne en effet pas lieu à des mesures particulières pour leur élimination.
Découverte de cadavres "suspects"
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la découverte d'un cadavre de Canard colvert (Anas platyrhynchos) femelle morte, ici dans le parc communal de Mouscron (Belgique), peut éveiller les soupçons.
Photographie : Jamain / Wikimedia Commons

Lorsqu'une maladie aviaire hautement pathogène est signalée par les autorités, comme ce fut le cas en Europe en 2006 (lire La grippe aviaire), ou lorsque des centaines d'oiseaux morts sans raison évidente sont découverts dans des lieux précis, comme ce fut le cas en 2011 aux États-Unis (lire Pluies d'oiseaux : une désorientation à rapprocher de celle des pilotes d'avion ?), la vigilance et la précaution sont de mise. En France, le législateur estime que les situations suivantes doivent éveiller l'attention :

découverte de plus de cinq cadavres d’oiseaux d’une ou plusieurs espèces trouvés sur un même site (dans un rayon de 500 mètres environ) et dans un laps de temps maximal d’une semaine;
découverte d’un palmipède (cygnes, oies, canards) mort. Il s’agit en effet d’oiseaux très sensibles à la grippe aviaire;
découverte d’un cadavre dont aucune cause évidente de mortalité (empoisonnement, électrocution, présence de plomb de chasse, collision…) ne peut être établie;
Qui contacter en France en cas de découverte de cadavres "suspects" ?

En France, en cas de découverte de cadavres "suspects", il faut contacter l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) ou la fédération des chasseurs du département. Le cadavre sera analysé si son état le permet et une fiche sera transmise à l'Unité Sanitaire de la Faune par le coordinateur départemental du SAGIR, un réseau de surveillance épidémiologique des oiseaux et des mammifères sauvages et de collecte de leurs cadavres en place depuis 1955. Ses objectifs sont de détecter précocement l’apparition de maladies nouvelles pour la faune sauvage, les agents pathogènes transmissibles à l’Homme et/ou la faune sauvage et les animaux domestiques, de surveiller les effets sur les oiseaux et mammifères sauvages de l’utilisation agricole de produits phytopharmaceutiques, et de surveiller l’évolution et la répartition des maladies des oiseaux et des mammifères sauvages à enjeu pour la santé des populations. La surveillance repose sur un réseau d’observateurs de terrain, principalement des chasseurs, des techniciens des fédérations départementales des chasseurs et des agents de l’ONCFS.
Les animaux morts sont transportés par des personnes qui disposent d’une autorisation spéciale du Ministère du Développement Durable jusqu’à un laboratoire départemental d’analyses vétérinaires où est réalisé le diagnostic. Certaines analyses particulières sont effectuées par des laboratoires spécialisés qui viennent en appui aux laboratoires de proximité. L’ensemble des résultats est intégré dans une base de données nationale.
En cas d’épidémie de grippe aviaire, vous pouvez obtenir des informations auprès de la préfecture de votre département, de la mairie de votre commune, la Direction Départementale de la Protection des Populations (services vétérinaires), de l'ONCFS ou de la fédération des chasseurs du département pour connaître la démarche la plus appropriée.
Contacter un musée
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La découverte du cadavre d'une espèce peu commune dans une région donnée, ici une Paruline des pins (Setophaga pinus), peut être intéressante d'un point de vue scientifique.
Photographie : Fredlyfish4 / Wikimedia Commons

Des musées ou des associations peuvent être intéressés par un cadavre d'oiseau rare ou peu commun, même incomplet, pour leurs collections. Il vaut mieux toutefois les contacter à l'avance pour s'assurer que l'espèce que vous avez trouvée a un intérêt pour eux. Les petits cadavres pourront éventuellement être envoyés par courrier. Si l'oiseau est déjà sec et momifié, il faut l'emballer soigneusement dans du papier absorbant (genre "essuie-tout" ou "papiers toilette") qu'on peut imprégner d'alcool et placer dans une petite boîte. S'il est mort récemment et risque de se décomposer, il faut le placer dans un petit flacon d'alcool. Le cas échéant, quelques fleurs de lavande ou de thym voire des feuilles de romarin dans l’envoi atténueront l'odeur.
Cadavres d'oiseaux atteints de variole aviaire (poxvirose)

La poxvirose ou variole aviaire (lire La variole aviaire ou poxvirose) est une maladie émergente en Europe de l’Ouest depuis quelques années affectant principalement la Mésange charbonnière (Parus major) : elle provoque l'apparition de lésions cutanées très visibles. Afin de mieux connaître l'évolution et l'étendue de cette maladie, des organismes ont lancé des enquêtes pour collecter des données et des cadavres. En France, c'est le Centre Vétérinaire de la Faune Sauvage et des Écosystèmes des Pays de Loire qui suit ce sujet : il a déjà mené deux enquêtes nationales durant les hivers 2012-2013 et 2014-2015. Les cadavres de mésanges (mais aussi d'autres oiseaux) infectées seront analysés (études histologiques et virologiques). Notez la date, le lieu (nom de la commune et son code postal), le milieu (mangeoire dans un jardin, forêt, prairie, champs, verger...), la localisation du ou des nodule(s) (tête, aile, patte ou autre), et si possible prenez une photo. Ne manipulez pas l'oiseau à mains nues.
Cadavres d'oiseaux marins échoués
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Macareux moine (Fratercula arctica) échoué, Lège-Cap-Ferret (Gironde), le 08/02/2014.
Photographie : Alain Noel

Des cadavres d'oiseaux marins (macareux, guillemots, océanites, mouettes...) sont régulièrement trouvés le long des côtes, surtout en période hivernale quand les tempêtes les rejettent sur les plages. Ces échouages peuvent être massifs et concerner des dizaines de milliers d'oiseaux, comme ce fut le cas en Europe de l'Ouest au début de l'année 2014 (lire Important échouage de Macareux moines le long du littoral atlantique français) ou le long du littoral pacifique des États-Unis en janvier 2015. Les raisons de ces hécatombes sont mal connues : manque de nourriture, pollution, maladies, intempéries... Pour évaluer l'ampleur de ces phénomènes et essayer de mieux les comprendre, il est utile de signaler vos découvertes de cadavres échoués. Durant l’afflux d’alcidés échoués du début de l’année 2014 le long des côtes françaises, c'est la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), avec le soutien d'autres associations et organismes (comme l’Agence des Aires Marines Protégées), qui a coordonné le recensement des données. Le public devait saisir sur les sites web concernés du réseau VisioNature (Faune-bretagne.org, Faune-vendee.org, Faune-charente-maritime.org, Faune-aquitaine.org) les échouages (de toutes espèces) par tronçon de côte (50 mètres), photographier si possible l'oiseau pour évaluer son âge, mesurer la longueur parcourue sur la plage, cocher la case "L'animal est mort" et préciser la cause "échouage" pour que le travail de synthèse soit facilité. Il était conseillé de marquer les cadavres déjà recensés avec un bout de ficelle de couleur vive attaché sur la patte ou l’aile pour éviter les comptages en double. Il était aussi conseillé d’être attentif à la présence de bagues (en notant le code inscrit ou en la récupérant). Vous pouvez aussi contacter la mairie de votre commune ou la Gendarmerie qui vous aiguilleront.
Oiseaux victimes de collisions
Les collisions (lire Comment voient les oiseaux et comment limiter les collisions ?) avec les véhicules (lire Quand faut-il s'envoler lorsque les voitures roulent vite ?), contre les bâtiments, les lignes électriques et les éoliennes (lire L'énergie éolienne serait une menace pour la biodiversité) constituent des causes très importantes de mortalité pour les oiseaux, et il est intéressant de les recenser pour mieux évaluer ces phénomènes et essayer de trouver des solutions pour les réduire. En Grande-Bretagne, le site web du "Project Splatter", lancé par l’université de Cardiff, incite le grand public à saisir ses observations de cadavres le long des routes. En France, une enquête intitulée "Observatoire des collisions routières", pilotée par la LPO et l’association Poitou-Charentes Nature et rassemblant aménageurs routiers et institutions publiques régionales, a été lancée dans la région Poitou-Charentes en 2013 : son objectif est d’identifier les points les plus meurtriers du réseau routier pour la faune. Tous les usagers de la route dans la région Poitou-Charentes sont invités à saisir leurs observations de cadavres (toutes espèces) dans les sites web concernés du réseau VisioNature (Faune-charente.org, Faune-charente-maritime.org, Nature79.org, Vienne.lpo.fr). En cas de doute sur l’identification de l’espèce, il suffit de sélectionner par exemple "oiseau indéterminé".
D'une manière générale, il est possible de saisir ses données d’oiseaux victimes de collisions sur tous les sites web du réseau VisioNature (Ornitho.fr pour la France) en cochant la case "l'oiseau est mort" et en détaillant les circonstances du décès.
Oiseaux empoisonnés
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Pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus) trouvé mort, probablement empoisonné, Californie (États-Unis).
Photographie : U.S. Fish and Wildlife Service / Wikimedia Commons

En France, des campagnes d'empoisonnement (à la bromadiolone par exemple) des rongeurs sont parfois organisées et peuvent occasionner la mort de rapaces diurnes et nocturnes : l'arrêté préfectoral autorisant l’emploi de ces produits doit normalement être affiché dans les mairies des communes concernées et les appâts empoisonnés doivent être enterrés. Si vous trouvez un oiseau semblant avoir été empoisonné ou des appâts ne respectant pas les consignes de mise en place, prenez une photo, notez l’emplacement et contactez la LPO, votre association locale, la Gendarmerie, l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) ou la fédération des chasseurs du département. Les cadavres pourront être analysés.
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