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Vieux 18/07/2012, 12h22   Afficher une version imprimable   (1)
maloute45
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Léon julien
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Lu pour vous - pour information
Source : "Le Monde des Oiseaux" Association Ornithologique Royale Belge (2002) Auteur : Claude Declerck.


Chers amis,j'ai "déniché" cette liste,qui je crois est du plus grand intérêt pour nous les Amateurs d'oiseaux,et viendra bien à point le cas où une maladie pointera son nez dans nos élevages.
Si je puis vous donner un petit conseil,c'est de l'imprimer et de joindre cette liste dans votre cahier ou registre.

maloute45

AOB_Logo_mini.jpg vademecum_maladies_titre_article.jpg PETIT VADEMECUM DES MALADIES ET DES PARASITES DES OISEAUX


Cela fait déjà un bon nombre d'années que je lis avec intérêt les différents articles paraissant dans le Monde des Oiseaux.
Il s'agit d'une littérature plaisante à lire, pleine d'enseignements sur un large éventail de sujets très souvent captivants à plus d'un titre et appuyés sur des expériences personnelles d'éleveurs et d'amateurs de notre petit pays et aussi d'ailleurs.
J'ai toutefois été frappé par l'absence de conseils visant à améliorer la santé de nos pensionnaires et aussi leur traitement lorsqu'ils sont les victimes de maladies spécifiques qui sont plus nombreuses qu'on ne pourrait le croire.
Je me suis alors mis à la recherche de documentation à gauche et à droite, n'étant pas vétérinaire, le vade-mecum qui suit n'est que le reflet de ce que j'ai pu glaner et n'engage personne.
Dans tous les cas, surtout lorsque le doute s'installe, une visite chez le vétérinaire est un gage de sûreté.
Je reste toutefois convaincu que beaucoup d'amateurs ayant eu à combattre des problèmes sanitaires chez leurs oiseaux, seront contents de pouvoir à l'occasion se raccrocher à ces quelques données.
Il est clair aussi que cette documentation n'est pas complète et peut pécher par manque de connaissances vétérinaires. Je me réclame de votre indulgence et suis ouvert à toutes les suggestions.

Claude Declercq
Novembre 2002




Abcès

Traitement : Après ponction et expulsion du pus, bien nettoyer, puis appliquer la pommade Terramycine, en massant légèrement.

Acariose des plumes et de la peau

Généralement due au pou rouge, dont les piqûres irritent la peau et provoquent une anémie parfois grave.
Traitement : Penser aux vitamines pour combattre l'anémie.
Prophylaxie : Bien nettoyer cages et volières et vaporiser du Vermikill dans les cages et volières en respectant bien le modus operandi

Acariose respiratoire

Un petit acarien de 0,5 mm dans la trachée provoque respiration difficile, sifflements, claquements du bec.
Traitement : Séances d'aérosols. "Carbaryl" mélangé aux graines.

Aérosacculite

C'est l'inflammation des sacs aériens.
L’appareil respiratoire des oiseaux représente 20 % du volume du corps; il comprend douze sacs aériens volumineux (se prolongeant dans les os creux) qui risquent, à la suite d'infections, de se remplir de dépôts purulents, souvent caséeux et épais, impossibles à évacuer.
Dans l'aspergillose, il peut y avoir des granulomes couleur mastic ou des feutrages mycéniens (mycétomes).
Il se produit parfois une invasion par des acariens semblables à ceux de la trachée.

Amaigrissement

Il peut être dû à des maladies, à un logement inadéquat et à des carences alimentaires ou à des anémies provoquées par les poux.

Anémie

Elle a pour cause soit des parasites (poux), soit des maladies infectieuses.
Elle se traduit par un affaiblissement, un amaigrissement(voir amaigrissement) et une grande tristesse.
Agent pathogène ou Vecteur : voir ci-dessus
Symptômes : pâleur du bec, de la peau et des pattes.
Traitement :améliorer les conditions d'hébergement de vos oiseaux et modifier si nécessaire le régime alimentaire.
Prophylaxie : Comme toujours, veiller à une propreté sans faille de vos installations.

Angine

Difficulté à avaler et inflammation de la cavité buccale.
Attention à la trichornonose ; chez les perroquets, penser au muguet (voir ce mot) et également à l'hypovitaminose A.

Apoplexie

Due à l'excès de nourriture ou aux coups de chaleur.

Arthrite

Inflammation des articulations se traduisant par des rougeurs, un peu d'œdème et une boiterie.
L’origine est souvent infectieuse (salmonelles, etc.).
Gare à la "goutte" chez les perroquets.
Les premières manifestations de l'arthrite virale (ténosynovite) sont habituellement observées chez des sujets âgés de 6 à 10 semaines.
Les malades peinent à marcher et, quand on les force, leur démarche est incertaine et douloureuse.
Le jarret présente quelquefois un léger oedème toujours inférieur à celui qui résulte de l'infection par Mycoplasma synoviae ou Staphylococcus.
L'ouverture de la patte montre des tendons décolorés ou brunâtres qui peuvent être également hémorragiques; un liquide jaune paille les enveloppe.
Traitement : On recommande les bains locaux dans du thé de vigne rouge, un draineur homéopathique (Rhus Tox, Apis).

Ascaridia et Capillaria

Vers nématodes qu'on rencontre surtout chez les oiseaux vivant en volière extérieure, par exemple les aras et les grosses perruches.
Les oeufs sont visibles au microscope dans les selles (faire effectuer des analyses coprologiques).
Traitement : utiliser un vermifuge.

Y

Maladie très grave et souvent mortelle chez les perroquets et les mainates ils présentent des dépôts jaunâtres épais ou des revêtements feutrés verdâtres, dans la trachée ou dans les sacs aériens.
Agent pathogène ou Vecteur : Elle est provoquée par des champignons microscopiques (aspergilles) localisés dans les sacs aériens et les poumons ; l'affection est transmise par les graines (passer ces dernières au four à micro-ondes pendant trois minutes, à puissance moyenne).
Symptômes : Elle se traduit par un essoufflement et une difficulté respiratoire caractéristique.
Contagiosité : isoler les oiseaux malades
Traitement : Consulter un vétérinaire pour des injections (Daktarin, comprimés de Fluocytosine, nébulisations).
Prophylaxie : hygiène impeccable et nourriture de qualité irréprochable.

Asthme

Ce terme désigne un ensemble de symptômes se traduisant par une respiration bruyante et par des râles . l'oiseau « manque d'air » (le système pulmonaire ne s'oxygène plus).
Si les symptômes sont importants.
Traitement : conduire d'urgence l'oiseau chez le vétérinaire pour aérosols à l'oxygène et aux antibiotiques.

Avalure

voir Boulimie.

Avitaminoses

Elles sont fréquemment dues à des troubles de la nutrition et à l'absence de verdure fraîche dans l'alimentation.
La carence en vitamines A donnent chez le perroquet d’épais dépôts blanchâtres dans la bouche.
Traitement : donner des anticarentiels.

B

Blessures

Traitement : Nettoyer soigneusement, appliquer de la pommade Homéoplasmine et laver avec Hibitane dilué.

Boiterie

Elle est causée par un coup, une fracture, le gonflement d'une articulation ; chez les jeunes, elle peut avoir pour origine une avitaminose (voir ce mot).

Botulisme

Intoxication alimentaire microbienne provoquée par de la viande ou des conserves avariées.
Les oiseaux insectivores (mainate, par exemple) sont intoxiqués par des asticots élevés sur de la viande putréfiée.
Troubles nerveux et paralysie.

Bouche (affections)

Principalement dues à une levure du genre Candida (voir Muguet), ou à une carence en vitamine A.

Boulimie

L’oiseau mange très fréquemment mais il n'en maigrit pas moins et son plumage devient terne et rare.

Bouton

Il s'agit d'une inflammation de la glande uropygienne, dont l'excrétion ne se fait pas normalement.
Ne pas percer.
Traitement : enduire avec de l'Onguent KLC.

Bronchite

L’oiseau est triste et abattu, il respire difficilement et garde le bec entrouvert, il halète.
Peut être causée par des mycoplasmes (PPLO). S'il y a aggravation, faire effectuer des aérosols à l'oxygène par le vétérinaire. Ces symptômes doivent faire également penser à l'aspergillose.

Broncho-pneumonie.

voir Bronchite.

Brûlures

Traitement : enduire les régions atteintes avec de la pommade Homéoplasmine.

C

Calcification des pattes

Chez les Canaris et chez les Galliformes il peut parfois arriver qu'apparaissent des calcifications aux pattes.
Cela arrive souvent avec l'âge.
Ces calcifications peuvent être dues à de petits acariens Cnemidocoptes mutans.
Traitement : administrer de la vitamine "A" et appliquer un mélange d'huile de table et de teinture d'iode, tremper ensuite le membre atteint dans du bicarbonate de soude.

Candidose

voir Muguet.

Carences

Il peut s'agir de carences en calcium (hyperparathyroïdisme), qui se traduisent par une déformation des os, lesquels se ramollissent; en phosphore; en vitamines (avitaminoses); en oligo-éléments (manganèse, fer, cuivre, cobalt, zinc, iode, sélénium, etc.); en protéines (en particulier certains acides aminés indispensables : méthionine, lysine, cystine, tryptophane). Il faut donner des anti-carentiels divers .
Le manque de vitamine A est fréquent chez les perroquets et se manifeste par des dépôts blanchâtres dans la bouche.
Traitement : ( Nekton , Alvytil).

Catarrhe

voir Coryza.

Coccidiose

Trois sont distinguées :

Coccidiose cæcale hémorragique
Coccidiose intestinale aiguë
Coccidiose duodénale

Sur un plan général, la coccidiose aviaire est une infection parasitaire grave de l'intestin que l'on rencontre dans toutes les régions du globe. En dépit des progrès qu'a amenés la chimiothérapie, la coccidiose demeure un problème majeur auquel les tous les détenteurs d'oiseaux doivent faire face.
Très courante et souvent mortelle en cas de non-traitement rapide, cette maladie, due à la présence de parasites microscopiques (protozoaires du genre Isospora, se manifeste par une diarrhée plus ou moins sanglante, un amaigrissement, des plumes ébouriffées.
Les coccidies sont des protozoaires unicellulaires microscopiques, considérés comme étant spécifiques aux espèces, ce qui signifie que les coccidies des merles ne peuvent infester les pinsons et vice-versa.
La gravité de l'infection est proportionnelle au nombre d'ookystes infectieux ingérés.
Les oiseaux les plus sensibles sont surtout ceux dont l'état nutritionnel est faible, ou encore ceux qui sont atteints de conditions immunosuppressives telles la maladie de Marek ou une infection de la bourse de Fabricius.
Dès son ingestion, l'ookyste débute son cycle de vie dans la muqueuse intestinale ou paroi interne, provoquant ainsi des dommages cellulaires. Selon l'espèce en cause, les ookystes sont rejetés avec les fèces dans un intervalle de quatre ou huit jours.
Leur incubation de douze ou même trente heures dans un environnement humide et à des températures qui varient entre 20 et 30 oC permet la sporulation des ookystes qui deviennent alors infectieux.
C'est la raison pour laquelle les oiseaux élevés à l'extérieur seront plus sensibles à l'infection au printemps et en été.
Dans un élevage en claustration totale, la maladie peut toutefois se manifester en tout temps.
Agent pathogène ou Vecteur : protozoaire du genre Isospora.
Symptômes : Quoique les jeunes oiseaux âgés de quelques jours puissent être affectés, la coccidiose se manifeste rarement avant l'âge de deux semaines.
Les sujets adultes qui n'ont pas été exposés à la maladie demeurent susceptibles de la contracter mais développent une certaine résistance ou immunité, lorsque défiés par la présence limitée mais continue des organismes en cause.
Les oiseaux touchés d'une infection clinique sont pâles, affaissés, amaigris, ils ont des plumes hérissées et des fientes teintées de sang ou présentent une diarrhée plus ou moins sanglante.
Contagiosité : très contagieuse par les contacts avec les déjections des oiseaux atteints.
Dans un sol à l'abri du soleil, les ookystes peuvent survivre plus d'un an.
Leur survie de même que leur pouvoir infectieux seront favorisés par les conditions d'humidité élevée fréquemment rencontrées aux environs des abreuvoirs et des lieux de bains des oiseaux.
Le transport d'oiseaux infectés peut amener les organismes sur de longues distances.
Un équipement malpropre, des cages de transport et des chaussures souillées sont tout autant de formes possibles de transmission de la maladie.
À cause de leur taille, on ne croit pas que les ookystes puissent être transportés par les poussières ou par les particules en suspension dans l'atmosphère.
Immunité : On a déjà cru que les oiseaux immunisés contre la coccidiose conservaient leur résistance à cette maladie pour toute leur vie.
Ce n'est pourtant pas le cas et on a maintenant la preuve que l'immunité, qui n'est que temporaire, ne peut être maintenue que grâce à l'exposition répétée aux coccidies.
À moins qu'ils ne passent leur vie dans une cage à fond grillagé, les oiseaux qu'on élève devraient être immunisés contre les coccidies.
Il existe plusieurs façons de leur donner cette immunité.
L'oiseau peut acquérir une immunité naturelle par l'ingestion d'un nombre réduit d'ookystes infectieux.
Les ookystes rejetés après un premier cycle de vie assurent la continuité de l'exposition et renforcent ainsi le développement de l'immunité.
Il s'agit là de la méthode idéale pour immuniser les oiseaux élevés sur le sol.
Traitement : La sulfaquinoxaline, la sulfaméthazine ou une combinaison des deux sont utilisées de préférence dans l'eau, quoiqu'elles puissent être ajoutées à la nourriture.
Comme elles sont vendues en concentrations variables, on doit toujours vérifier les directives inscrites sur l'emballage afin d'appliquer la dose prescrite.
Des précautions supplémentaires s'imposent lorsqu'on utilise ces drogues dans l'eau par temps chaud, la consommation accrue d'eau pouvant alors mener à une toxicité aux sulfamides.
Les coccidiostats semblent demeurer efficaces pendant deux ou quatre ans.
Comme différents produits entrent régulièrement sur le marché, les amateurs devraient d'abord se renseigner sur ceux d'entre eux ayant été reconnus comme les meilleurs.
Le vétérinaire prescrira des anticoccidiens comme le S-Mez à 16%, très efficace.
Prophylaxie : Tel que mentionné précédemment, les ookystes ont besoin d'humidité, de chaleur et de temps pour développer leur pouvoir infectieux.
Ainsi, on devrait s'occuper sans tarder des endroits humides ou mouillés, dans les volières ou autour des abreuvoirs.
Le recouvrement du sol souillé et humide devrait être retiré et remplacé rapidement.
On recommande fortement de toujours procéder au nettoyage rigoureux des cages et des volières pour éviter que les coccidioses ne résultent en une mortalité importante.
Assurez-vous de garder vos cages et volières dans un état de propreté parfaite.

Colibacillose

Le colibacille est une bactérie en forme de bâtonnet qui se trouve à l'état normal dans le tube digestif des animaux et de l'homme; il peut devenir pathogène, donc dangereux, parfois mortel, chez des oiseaux affaiblis, carencés, mal nourris.
Il provoque chez les jeunes oiseaux des abcès volumineux au niveau des oreilles (coligranulomatose).
Symptômes : toux, éternuements, diarrhées.
Traitement : Faire faire un antibiogramme par le vétérinaire, qui prescrira les antibiotiques adéquats.

Congestion pulmonaire

voir Bronchite.

Conjonctivite

A la suite d'un coup de froid, d'un coryza, d'un choc, l' oeil peut devenir enflammé et larmoyant.
Traitement local collyre aux antibiotiques.

Coquilles molles (oeufs hardés)

Ce sont des oeufs à coquille très fine ou dépourvus de coquille.
Cette anomalie est due à un manque de calcium dans l'alimentation de la mère ou à une malformation de la glande coquillière.

Coryza contagieux

Le Coryza simple est caractérisé par un écoulement humide mais fluide des narines et une sécrétion des yeux.
Le Coryza contagieux est la conséquence inévitable du Coryza simple qui n'a pas été soigné ou décelé à temps.
Les cavités nasales secrètent une mucosité épaisse et jaunâtre qui se transforme souvent en croûte, l'œil attaqué semble sortir de son orbite, l'animale éternue, si il n'est pas soigné, la gorge est prise et l'animal meurt par asphyxie.
Attention pour le diagnostic :Il peut aussi s'agir d'aspergillose, de mycoplasmose, d'affections dues à des Klebsiella ou à des Pseudomonas, etc..
Agent pathogène ou Vecteur : Ces Coryzas sont causés par l'humidité, les courants d'air, les changements brusques de température.
Symptômes : L’oiseau éternue et présente un écoulement nasal plus ou moins purulent au niveau des narines; son appétit diminue.
Contagiosité : D'autres oiseaux risquent d'être contaminés par le malade
Traitement : administrer des gouttes dans chaque narine; emmener l'oiseau chez le vétérinaire pour des séances d'aérosols.
Prophylaxie : éviter les courants d'air, l'humidité stagnante, les changements de température et garder les volières propres. Quarantaine pour les nouveaux venus.

Coup de froid

voir Bronchite.

D

Diarrhées

Elles peuvent n'être dues qu'à une simple inflammation provoquée par des aliments fermentés, une pâtée rance ou de la verdure trop abondante.
Mais il peut également s'agir de maladies infectieuses parfois très graves, voire mortelles (paratyphose, salmonellose, colibacillose, coccidiose, etc.). Faire boire des anti-diarrhéiques.
Administrer aux convalescents, dans la semaine qui suit l'éradication de la maladie, des vitamines et de l'anti-carentiel.

E

Emphysème sous-cutané

L’oiseau semble gonflé comme une baudruche; cette manifestation morbide résulte de la pénétration d'air sous la peau, à la suite d'une rupture de paroi, ou de l'infection d'un des sacs aériens.
Traitement : emmener l'oiseau chez le vétérinaire, qui ponctionnera aseptiquement la peau et désinfectera; en attendant, appliquer de la pommade Homéoplasmine.

Encéphalite

Se manifeste par certains troubles nerveux (tournoiements, révulsion de la tête, épilepsie, etc.).
Il s'agit de maladies à virus, toujours graves, et qu'il est difficile de soigner.
Parfois, chez les perroquets, un simple manque de calcium entraîne des crises et des chutes.
Penser aussi à la paramyxovirose.

Enrouement

voir Bronchite.

Entérite

voir Diarrhées.

F

Foie (maladies)

L’abdomen présente parfois une zone brun-violet sur le côté droit, l'oiseau perd son appétit, devient triste, et le plumage est terne.
Il est conseillé de donner quelques gouttes d'un draineur hépatique.
Éviter les régimes trop riches en graisses ou en huiles qui provoquent la dégénérescence graisseuse du foie.

G


Gale de la tête

Quelques squames lamelleuses jaunâtres sur la tête, pouvant s’étendre à d’autres parties du corps.
Les parasites (Epidermiptides) restent en surface du tégument, parfois sur les plumes.

Gale des pattes et du bec

Cette affection, due à la présence de sarcoptides (Cnemidocoptes pilae), provoque des croûtes grisâtres, granuleuses et prurigineuses sur les pattes(Cnemidocoptes mutans), et autour du bec et des yeux (surtout chez les Perruches ondulées).
La présence de la gale des pattes et du bec est détectable immédiatement par le soulèvement des écailles avec accumulation de croûtes évoquant de la mie de pain desséchée, le prurit peu développé.
Ces petits acariens vivent sous la peau à l'abri des croûtes gris jaunâtres qui se trouvent sur les pattes ou la cire(chez les perruches).
Si on néglige de soigner les oiseaux atteints, l'infestation va se développer et le malade perdra un ou des ongles et même la patte entière selon le degré d'infestation. .
Evolution lente sur plusieurs mois aboutissant à des déformations des doigts, boiteries, voire chute de phalanges sur les oiseaux amaigris.
Agent pathogène ou Vecteur : Cnemidocoptes pilae, Cnemidocoptes mutans
Symptômes : l'oiseau atteint(stade est déjà bien avancé) se tient accroupi sur ses pattes et a l'air de souffrir.
En fait il souffre.
Contagiosité : peu contagieuse.
Traitement : - vaporiser les parties atteintes avec un produit à base de "Diparachrorophénylméthyl – Carbinol" à 0,5% OU procéder à une application locale d'un produit à base de Benzoate de benzyle (12 à 25%) en solution huileuse, 1 fois par jour durant 15 jours et ensuite 1 fois par semaine durant 2 semaines.
Prophylaxie : veiller à la propreté des perchoirs et des augets.
Ce sont les endroits où les oiseaux ramassent les sarcoptides.
Eliminez les perchoirs douteux en les brûlant ou désinfectez les après nettoyage à l'eau de javel avec du Vermikill.

Gale du corps (ou gale déplumante)

Maladie assez rare due à un parasite; elle est facile à distinguer des mues, car elle ne fait tomber que les petites plumes des ailes et de la queue (les mues sont considérablement plus fréquentes).
Parasites retrouvés au niveau du manchon blanchâtre à la base du duvet en périphérie des lésions.
Il est parfois possible de déceler la gale déplurnante par examen des plumes au microscope, surtout si celles-ci, à leur base, présentent un manchon cotonneux blanchâtre (c'est le cas avec Sarcoptes laevis, qui ne mesure que 0, 1 mm).
Prurit avec autopicage et chute des plumes.
Plus fréquente en belle saison.
Agent pathogène ou vecteur : Cnemidocoptes laevis ou Sarcoptes laevis
Symptômes : Lésions à partir de la région péricloacale vers tout le corps.
Contagiosité contagieuse. Contamination par le contact entre les oiseaux ou à partir des perchoirs ou du sol.
Traitement : traiter en lotion, avec la suspension "Insectornis"™ dans l'eau : deux ou trois applications suffisent si le diagnostic est juste.

Giardiases

Chez les Perruches ondulées et chez les Perruches calopsittes, espèces où la mortalité due à cette maladie est importante.
Les muqueuses du duodénum, du jabot, de la rate, ainsi que les parois du cœur sont atteintes.
Traitement : le dimétridazole (Emtryl 40) à 0,5 % est actif dans l'eau.

Goutte

Les dépôts d'acide urique se manifestent sous forme d'enduit plâtreux peu adhérent au niveau des articulations, le long des tuniques tendineuses ou dans les organes viscéraux (péricarde, foie, intestin). L’origine peut être infectieuse, traumatique (au niveau du rein), alimentaire (défaut d'abreuvement), physique (refroidissement), etc.
Dans le cas de goutte articulaire, la douleur est vive; le perroquet déplace son corps d'une patte sur l'autre, les doigts ne peuvent plus se plier, et les vaisseaux sanguins sont compressés.
On remarque des nodules jaunâtres volumineux (concrétions de cristaux d'acide urique) au niveau des articulations, devenues très douloureuses.
On observe aussi un gonflement et une déformation des articulations, qui prennent une coloration violacée.
Traitement : donner quelques gouttes d'Uricum acidum 4 CH, Pulsatilla 4 CH, Benzoïcum acidum 4 CH et Lycopodium 4 CH, chaque jour pendant vingt jours ; puis, les vingt jours suivants, quelques gouttes d'Arnica 4 CH, Cajuputum 4 CH, China 4 CH, et Aconitum 4 CH.

H

Hémorragie

Traitement : Consulter le vétérinaire ; penser à une éventuelle carence en vitamine K.

Hémorragie méningée

C'est une cause fréquente de mort rapide (entre vingt-quatre et trente-six heures).
A la suite d'une frayeur, l'oiseau se heurte le crâne (dont l'excès de matières grasses peut, par ailleurs, fragiliser la paroi osseuse), ce qui provoque des hémorragies en nappe et un épanchement de sang.
Les symptômes en sont : tremblements, paralysies, suffocation.

Hyperparathyrdidie

D'origine nutritionnelle, elle est associée à une carence calcique chez le perroquet et la perruche (chez les rapaces également).
Comme chez l'homme et chez la plupart des animaux, le rapport calcium/phosphore est, chez la majorité des oiseaux, d'environ 1,5/1. Or, la plupart des noix, des graines, des fruits même, des aliments d'origine animale ont une teneur beaucoup trop faible en calcium et trop riche en phosphore.
Les symptômes de cette grave maladie se traduisent par une faiblesse, des crampes, des chutes du perchoir.
Les radiographies montrent une raréfaction osseuse (ostéoporose) due à une hypocalcémie dramatique.
Traitement : Au moment de la crise, injecter 1 à 3 mi de calcium, ainsi que du sérum glucosé isotonique.
Donner du sirop de calcium, et déposer quotidiennement sur les aliments 1/2 cuillerée à café de PVB Poudre calcique, pour aider l'organisme à fixer le calcium.
Calcium Sandoz fort (1 comprimé par litre d'eau).

Hypertrophie de la thyroïde (goître)

Très répandue chez la Perruche ondulée, l'hyperplasie thyroïdienne se traduit par une augmentation volumineuse des glandes thyroïdes : 5 à 10 millimètres de long au lieu de 1 à 2 millimètres normalement.
Il s'ensuit une compression de la trachée et des bronches, ainsi que des difficultés respiratoires bruyantes que l'on peut confondre avec une affection pulmonaire.
Traitement : le traitement consiste à donner 0,02 ml d'iodure de potassium à 20 %, ou 1 ml de Lugol à 7 % dans une cuillerée à soupe d'eau.

I

Indigestion

On observe un gésier gonflé et distendu, parfois des vomissements.
Traitement : mettre l'oiseau à la diète (Nux vomica).

Intoxications


Outre les excès de graisses rances ou oxydées, qui peuvent avoir de graves répercussions sur la santé des oiseaux, il faut bien sûr citer les gaz comme cause importante d'intoxication (troubles respiratoires) ; il peut s'agir de fuites de gaz, d'émanations d'oxyde de carbone, etc. Certains produits volatiles (kérosène, détacheurs, peintures au plomb) sont, eux aussi, particulièrement toxiques.
De même, les insecticides chlorés (DDT, lindane, chlordane, etc.) sont très dangereux, voire mortels, car ils entraînent des désordres nerveux.
Attention également à tous les fongicides utilisés dans l'agriculture.
Quant au plomb, il peut entraîner chez les perroquets vomissements, diarrhée hémorragique et torpeur
Pour les dangers d'intoxication présentés par certaines plantes, on se reportera aux pages traitant de cette question (dans le chapitre sur l'alimentation.
Traitement : en cas d'intoxication, il faut se précipiter chez le vétérinaire.

Isosporose

voir Coccidiose.

K

Kératite

En cas de blessure de la cornée, I' oeil devient bleuté.
Traitement : on évitera l'infection par application de collyre antibiotique (1 goutte matin et soir).

Kystes folliculaires

Ces kystes contiennent chacun une plume avortée, qui est incapable de se développer et entraîne l'accumulation d'un épais pus jaune.
Il appartiendra au vétérinaire d'inciser ces kystes et de cautériser.

L

Laryngite ou laryngo-trachéite

Apparition d'une véritable détresse respiratoire due à l'obstruction trachéale. Oedème et congestion de la muqueuse trachéale - d'où les filets de sang dans les expectorations; il y a même des exsudats caséeux dans le larynx et la trachée. Quand un bouchon caséeux obstrue le larynx ou la trachée, et la respiration est pénible, les oiseaux malades risquent plus ou moins l'asphyxie et la mort peut survenir dans une crise de suffocation.
Il existe des formes moins sévères de la laryngo-trachéite avec des souches moins virulentes ou des animaux plus résistants. On observe alors des conjonctivites, des râles respiratoires avec une mortalité faible ou nulle.

Leucoses

Elles sont provoquées par des virus et se rencontrent en particulier chez les Perruches ondulées.
Les leucoses sont inguérissables et seraient transmissibles.
Les tumeurs viscérales caractérisent la leucose lymphoïde.
On les trouve dans le foie, la rate, les reins et la Bourse de Fabricius, chez les oiseaux âgés de plus de 25 semaines. L'ostéopétrose est la leucose lymphoïde des os des membres (ailes et pattes).
Cette forme est peu fréquente et se traduit par des os arqués et plus épais.
Des troubles hématologiques peuvent être aussi observés.
Par exemple, les leucémies érythroïdes et myéloïdes.
Mais ces manifestations sont rares, l'aspect des tumeurs pourrait en imposer pour la maladie de Marek mais, dans la leucose lymphoïde, le système nerveux n'est jamais atteint.
(Absence de paralysie).
Les oiseaux atteints par la leucose lymphoïde sont affaiblis, perdent du poids et finissent par mourir
Symptômes : Les oiseaux malades sont apathiques et deviennent de plus en plus chétifs. Ils présentent un gros foie, une rate hypertrophiée et/ou aussi des tumeurs diverses.
Seul l'examen histopathologique peut être à la base de tout diagnostic correct.

M

Maladie de Marek

Elle affecte surtout les Galliformes et les Palmipèdes.
Les malades maigrissent ou présentent des signes de paralysie.
La mortalité varie de 5 à 50% chez les sujets non vaccinés
Les oiseaux vaccinés avec le virus Herpès dindon (H.V.T.) ont une mortalité beaucoup plus faible (1 à 5%)
.La paralysie atteint le plus souvent les nerfs fémoraux.
L'oiseau est incapable de se tenir debout et tombe sur le côté avec une patte étendue vers l'avant et l'autre vers l'arrière (grand écart).
Les lésions viscérales peuvent atteindre le gésier qui devient hypotrophique et la diarrhée s'installe.
La mortalité commence à partir de la 10e semaine.
Néanmoins, chez les oiseaux vaccinés, elle n'apparaît (quand elle existe) qu'entre la 25e et la 40e semaine.

Maladie de Newcastle ou peste aviaire.

La pire des catastrophes pouvant arriver chez un amateur.
Dans la volière atteinte, tous sont frappés et tous meurent.
Cette maladie redoutable est suivi d'une mortalité élevée pour ne pas dire totale, les oiseaux atteints meurent en 3 à 5 jours.
Symptômes : abattement des oiseaux et présence de diarrhées vertes.
Les sujets atteints n'ont pas toujours le temps d'extérioriser des signes respiratoires ou nerveux.
Contagiosité : très contagieuse!
Prophylaxie : Comme toujours, une propreté impeccable et une hygiène rigoureuse sont de mise.
Eviter l'entrée d'autres personnes que vous dans vos volières.
Toujours placer vos nouveaux arrivants en quarantaine.

ÉTIOLOGIE

Classification de l'agent causal

Virus de la famille des Paramyxoviridés, du genre Rubulavirus
Température : Inactivé à 56°C/3 h ou 60°C/30 mn
pH : Inactivé à pH acide
Agents chimiques : Sensible à l'éther
Désinfectants : Inactivé par le formol et le phénol
Résistance : Résiste pendant de longues périodes à température ambiante, notamment dans les matières fécales


ÉPIDÉMIOLOGIE

Hôtes

Nombreuses espèces d'oiseaux, aussi bien domestiques que sauvages
La mortalité et la morbidité varient selon les espèces et en fonction de la souche virale
Parmi les volailles, les poulets sont les plus sensibles, les canards et les oies les moins sensibles
Le portage de virus peut exister chez les psittacidés et chez certains autres oiseaux sauvages

Transmission

Contact direct avec les sécrétions, notamment les matières fécales des oiseaux infectés
Aliments, eau, instruments, locaux, vêtements, etc., contaminés

Sources de virus

Sécrétions bronchiques, matières fécales
Toutes les parties de la carcasse
Les virus sont excrétés pendant la période d'incubation et sur une période limitée au cours de la convalescence
Il a été montré que certains psittacidés excrètent des virus par intermittence pendant plus d'un an

Répartition géographique

La maladie de Newcastle est endémique dans de nombreux pays du monde.
Certains pays européens sont indemnes depuis plusieurs années.

Pour obtenir des informations plus complètes, se référer aux numéros récents de Santé animale mondiale et du Bulletin de l'OIE.


DIAGNOSTIC

La période d'incubation dure de 4 à 6 jours.

Diagnostic clinique

Signes respiratoires et/ou nerveux :
Dyspnée et toux
Ailes tombantes, pattes traînantes, torsion de la tête et du cou, déplacements circulaires, dépression, manque d'appétit, paralysie complète
Arrêt partiel ou total de la production d'oeufs
Déformation des oeufs dont la coquille est rugueuse et fine, et qui contiennent un albumen aqueux
Diarrhée aqueuse verdâtre
Gonflement des tissus périoculaires et du cou
Morbidité et mortalité sont fonction de la virulence de la souche, du degré d'immunité vaccinale, des conditions d'environnement et de l'état des oiseaux de l'élevage

Lésions

Aucune lésion macroscopique n'est pathognomonique
Plusieurs oiseaux doivent être examinés avant d'avancer un diagnostic présomptif
Le virus doit être isolé et identifié avant de conclure à un diagnostic définitif
Lésions possibles :
oedème du tissu interstitiel ou péritrachéal du cou, surtout au niveau du bréchet
congestion et parfois hémorragie sur la muqueuse trachéale
pétéchies et petites ecchymoses sur la muqueuse de l'estomac glandulaire, concentrées autour des orifices des glandes à mucus
oedème, hémorragies, nécrose ou ulcérations du tissu lymphoïde de la muqueuse intestinale
oedème, hémorragies ou dégénérescence des ovaires

Diagnostic différentiel

Choléra aviaire
Influenza aviaire
Laryngotrachéite
Variole aviaire (forme diphtérique)
Psittacose (chlamydiose) chez les psittacidés
Mycoplasmose
Bronchite infectieuse
Maladie de Pacheco du perroquet (psittacidés)
Erreurs d'élevage (insuffisance d'eau, d'air, de nourriture, par exemple)

Diagnostic biologique

Procédures

Identification de l'agent

Inoculation à l'oeuf de poule embryonné de 9 à 11 jours, puis :
recherche de l'activité hémagglutinante
inhibition de l'hémagglutination par de l'antisérum spécifique du virus de la maladie de Newcastle

Évaluation du pouvoir pathogène

Test des plages sur des cultures de fibroblastes d'embryon de poulet
Délai moyen de mortalité des oeufs de poule embryonnés
Indice de pathogénicité intracérébrale chez des poussins d'un jour
Indice de pathogénicité intraveineuse chez des poulets de 6 semaines

Tests sérologiques

Test d'inhibition de l'hémagglutination
ELISA

Prélèvements

Identification de l'agent

Prélèvements trachéaux et cloacaux par écouvillonnage (ou prélèvements fécaux) chez les oiseaux vivants, ou à partir d'organes et de fèces regroupés, provenant d'oiseaux morts

Tests sérologiques

Échantillons de sang coagulé ou sérum


PRÉVENTION ET TRAITEMENT

Il n'existe pas de traitement

Prophylaxie sanitaire

Isolement rigoureux des foyers
Destruction de tous les oiseaux infectés ou exposés
Nettoyage soigneux et désinfection complète des locaux
Élimination correcte des carcasses
Lutte contre les parasites dans les élevages
Respect d'un délai de 21 jours avant réintroduction de nouveaux effectifs
Pas de contact avec des oiseaux dont l'état sanitaire n'est pas connu
Surveillance des contacts avec les personnes
Présence, de préférence, d'une seule classe d'âge par exploitation

Prophylaxie médicale

La vaccination avec des vaccins à virus vivants et/ou sous forme d'émulsion huileuse peut réduire considérablement les pertes dans les élevages de volailles.
Les souches vivantes B1 et La Sota s'administrent dans l'eau de boisson ou en vaccination de masse par aérosol ; elles sont parfois administrées par voie intranasale ou intraoculaire.
Les poussins en bonne santé peuvent être vaccinés dès les quatre premiers jours de leur vie mais les vaccinations pratiquées à la seconde ou à la troisième semaine sont plus efficaces.
Certaines autres infections (à Mycoplasma) peuvent aggraver la réaction vaccinale.
Il convient alors d'utiliser des vaccins à virus tué.



Maladies intestinales

Les principales sont : la coccidiose, la constipation la diarrhée banale ou infectieuse; l'entérite parasitaire.
Voir ces sujets.

Mal de Rossino

Cette maladie provoque une mort subite, rougissement cutané avec lésions, hémorragies, lésions au foie, aux reins et à la rate.

Champignon microscopique pouvant se développer dans les sinus ou sur le plumage.

Mue (troubles)

La plupart des oiseaux perdent toutes leurs plumes une fois par an et les renouvellent.
Les Perruches ondulées, quant à elles, peuvent muer à plusieurs reprises dans le courant de l'année.
La mue dure environ quatre semaines, vers la fin juillet et le mois d'août.
Cette période s'accompagne d'un arrêt du chant (chez les oiseaux chanteurs) et d'une grande fatigue.
Durant cette période, on respectera le repos des oiseaux, et on leur évitera les courants d'air. La « mue française » des Perruches ondulées est une anomalie du plumage qui aurait des étiologies diverses : virus, carence en vitamines, en acides aminés ou en oligo éléments (manganèse, en particulier).
Traitement : durant la période de mue, donner : anti carentiels, Vitapaulia, serimue et calcicholine (Vigornil®), Nekton-bio.

Muguet (ou Candidose)

L’agent pathogène est une levure (Candida albicans).
Cette affection de la bouche et de la gorge, qui se rencontre surtout chez les perroquets, peut être mortelle.
La langue et la cavité buccale sont couvertes d'un enduit blanchâtre -, l'animal ne peut plus s'alimenter, il maigrit dangereusement.
Contacter un vétérinaire, qui prescrira de la Nystatine.

Mycoplasmose

Elle est provoquée par les PPLO, et peut se traduire par des éternuements, des écoulements oculaires et une respiration bruyante avec petits râles brefs et sifflants (bruit d'une feuille de papier que l'on froisse)
Le Traitement : Tylan permet de guérir aisément cette maladie.

Mycose

(voir Muguet et Aspergillose)

O

Oeil (maladie, ou Ophtalmie)

On recourt aux collyres pour combattre toutes les inflammations de I'œil.

Oeufs clairs (ou stériles)

Une atmosphère surchauffée, un coup de froid, la lumière artificielle prolongée, des carences en vitamines et en acides aminés constituent des facteurs favorisants.
Cette anomalie des oeufs se rencontre en général avec des mâles stériles ou des femelles ayant commencé la couvaison trop tôt.

P

Parasites externes

Il peut s'agir des poux, des acariens, des mallophages, etc.

Paratyphose

voir Salmonellose.

Pasteurellose

Cette affection (dont l'agent pathogène est un bacille) est très contagieuse.
Les oiseaux maigrissent, se mettent en boule, s'essoufflent et s'ébouriffent.
Les rats sont soupçonnés d'être les vecteurs de cette redoutable maladie.
Traitement : à base de Néoterramycine.
Les cages doivent être désinfectées particulièrement et soigneusement.

Pica (ou Picage)

Cette habitude perverse consiste en un arrachage de ses propres plumes par l'oiseau (parfois aussi, ce sont des compagnons de volière qui font subir ce traitement à l'un des leurs).
La solitude et l'ennui sont des facteurs favorisants, mais il faut, dans la majorité des cas, incriminer un manque de protéines et de vitamines.
Traitement : apport en méthionine, anti-picage divers, Nekton-bio.

Plaies

voir Blessures.

Pneumonie

voir Bronchite.

Poisons


Certains perroquets ont tendance à mâchouiller les objets en plomb ou en cuivre, métaux qui sont toxiques.
Ces intoxications provoquent des entérites hémorragiques ou des vomissements incoercibles, qui peuvent faire succomber l'oiseau.
Attention, par ailleurs, à l'avocat, dont l'écorce est mortelle, il en va de même du Mouron rouge.

Ponte (mal de)

voir Rétention d'oeufs.

Pou du Nord (ou Northernmite)!!!

Depuis quelques années sévit au Canada et dans d'autres pays à climat froid un acarien qui porte le nom de Ornithonyssus sylviarum.
Il ressemble beaucoup au pou rouge, et, comme lui, il pique et suce le sang des oiseaux, mais il a la particularité de rester sur eux et de s'y reproduire (« il vit sur l'habitant », pourrait-on dire!). l’ oeuf de cet acarien éclot en vingt- quatre heures, et, en moins de huit jours, l'acarien, devenu adulte, est capable de se reproduire !
Il se développe particulièrement en hiver et ne survit que trois ou quatre semaines s'il ne trouve pas d'oiseaux à piquer.
Il est très dangereux pour les jeunes, qu'il tue au nid.
On le soupçonne en outre d'être le vecteur de l'encéphalomyélite, de la variole, de la maladie de Newcastle, ainsi que de l'agent de l'ornithose.
Il faut traiter l'oiseau, le matériel et l'environnement. Ce pou est très résistant aux insecticides.
Traitement : on utilisera le Carbaryl à 5 % (bien qu'un cas de résistance ait été décelé), le Dog Net (mélange de Roténone et de Carbaryl).

gamaside.JPGPou rouge (ou Gamaside) et Pou du Canada

Il s'agit d'un insecte qui normalement(à jeun) est de couleur grise et qui a toutes proportions gardées, de longues pattes. C'est LE fléau et LA hantise de tout amateur d'oiseaux.
Dermanyssus gallinae, c'est son nom scientifique, est hématophage, c'est à dire qu'il se nourrit de sang, de quel sang?
De celui de vos oiseaux pardi!
Il passe le jour dans les multiples anfractuosités qui existent dans vos cages et volières pour aller attaquer dès que la nuit tombe, en rangs serrés vos oiseaux endormis et impuissants.
Quelques données sur le Gamaside:

il peut rester cinq mois sans manger!
La femelle pond plus de deux mille œufs durant sa courte vie qui n'excédera pas quelques mois.
Attention, ces sales bêtes peuvent s'attaquer à l'homme et provoquer des démangeaisons, si on n'y prend garde, une anémie peut s'installer suite aux nombreuses ponctions de sang subies, il s'agit là d'un cas hypothétique, on voit mal quelqu'un se laisser "bouffer" le sang par le gamaside sans réagir.

Se débarrasser de ces immondes créatures est une mission quasi impossible, tout au plus peut-on les tenir en respect grâce à un combat de tous les instants.
Symptômes : la présence du pou rouge est trahie par le comportement de vos oiseaux qui s'anémient et deviennent moins actifs, ils se grattent et se grattent.
D'autre part, l'inspection des perchoirs, des ressorts, de tout ce qui peut offrir refuge vous aidera à déceler les gamasides. Une loupe vous sera d'une grande utilité pour ce faire.
Les déjections de ces parasites sont autant de petites sphères grises de sang digéré.
Si vous rencontrez un interstice chargé de gris, vous pouvez être certain que l'ennemi est dans la place.
Traitement : insecticide à base de pyrèthre, pulvériser au VermiKILL™
Prophylaxie : Une hygiène sans faille par l'inspection régulière de vos oiseaux, de vos cages et volières, des désinfections régulières au VermiKILL™ de ces dernières vous assureront déjà un minimum de sécurité qui ne sera pourtant jamais de 100%.

Pseudomonose

Elle est due à la prolifération du redoutable bacille pyocyanique (ou « pourriture bleue des hôpitaux »).
Les sinus se remplissent d'un pus pouvant être odorant et verdâtre, et la diarrhée est fréquente.

Pseudo-tuberculose.

Cette maladie, dont l'agent pathogène est un bacille (Yersinia pseudotuberculosis), entraîne une mortalité élevée; elle peut terrasser un oiseau en deux heures.
Agent pathogène ou Vecteur : les souris, les rats ou les oiseaux sauvages.
Symptômes : Elle est caractérisée par l'apparition de nodules blanchâtres très nombreux, de 1 à 3 millimètres de diamètre, qui criblent la rate et le foie de l'oiseau atteint.
Contagiosité : très contagieuse.
Traitement : MCH dans la boisson.
Prophylaxie : combattre par tous les moyens les souris et les rats et si vous mettez des oiseaux sauvages dans vos cages ou volières, faites-leur faire une quarantaine.

Psittacose (ou Ornithose)

Affectant les Psittaciformes, cette maladie s'appelle Psittacose.
Chez les autres oiseaux, il s'agit de l'Ornithose.
Comme il est dit ci-dessous, l'homme peut être atteint.
Dès lors, éviter les contacts tels que caresses des oiseaux par votre bouche, ceci pour les détenteurs de Perroquets par exemple.
Cette zoonose (c'est-à-dire maladie transmissible à l'homme) est une « maladie légalement réputée contagieuse » (MLRC) et doit être déclarée.
D'autant plus qu'elle est dangereuse pour l'homme.

Chez l'être humain, les symptômes sont les suivants :

Violents maux de tête
Fièvre pouvant atteindre 40°
Frissons
Toux
Diarrhées légères

Non diagnostiquée et donc non-traitée, la psittacose/ornithose peut déclencher des complications pulmonaires chez l'être humain.
Des oiseaux sains peuvent être porteurs du germe mais la maladie ne se déclarera que lors de l'apparition de conditions favorables pour elle.
Agent pathogène ou Vecteur : L’agent pathogène est une bactérie (Chlamydia psittaci).
Symptômes : La maladie se manifeste par du coryza, des lésions des sacs aériens, une rate hypertrophiée et de la diarrhée. Un perroquet atteint de psittacose se tiendra les plumes hérissées dans un coin.
Traitement : traiter les oiseaux malades aux antibiotiques(visite chez le vétérinaire pour s'assurer du diagnostic).
Prophylaxie : nettoyer les cages dans lesquelles se trouvaient les patients avec une solution à base de phénol à 0,5%.

Pullorose

Détails : voir Salmonellose
Symptômes : diarrhée blanchâtre avec des excréments pâteux et une mortalité importante.

R

Rachitisme

Les oisillons peuvent présenter des déformations des pattes et des boiteries, qui sont dues à une mauvaise assimilation du calcium et du phosphore.
Ce trouble est souvent consécutif à une épidémie ou à une mauvaise alimentation des parents, et à un manque de vitamine D3.

Refroidissement

voir Coup de froid.

Rétention d'œufs

Si les reproducteurs sont trop jeunes ou trop âgés, si la température de la cage est trop élevée, si un choc, un excès de bruit ou de lumière perturbent la femelle, celle-ci pourra avoir du mai à expulser ses œufs.
Lorsque cela se produit, l'œuf bloqué ne peut sortir car il y a manque de contractions péristaltiques de l'oviducte.
Il faut savoir qu'un œuf trop volumineux peut comprimer les vaisseaux sanguins du pelvis et provoquer des désordres de la circulation du sang(ascite) ainsi qu'occasionner des douleurs; la mort peut même survenir suite à une péritonite.
Origine : à part les cas dont question ci-avant, une alimentation carencée en vitamines ou en oligo-éléments, un mauvais état général, une maladie, l'obésité sont des facteurs favorisant la rétention d'œufs.
Veillez à ne pas surcharger vos femelles en leur demandant trop de pontes.
En fait, le mal de ponte survient souvent aux conditions suivantes sans qu'il y ait corrélation entre les diverses propositions :

obstruction de l'oviducte
œuf à coquille molle ou trop volumineuse
reproducteurs trop jeunes ou trop âgés, trop faibles aussi
température ambiante trop élevée ou en dessous de 15°C
abus de calcium dans l'alimentation
coup de froid subi par l'oiseau
perturbation de l'environnement par le bruit ou l'excès de lumière, présence de parasites externes

Symptômes : la femelle pond en principe entre 7 et 8 heures du matin. D'importants efforts sont produits pour expulser chaque œuf. Ces poussées affaiblissent considérablement l'oiseau.
Si l'œuf ne peut sortir, la femelle quitte le nid et se pose sur le fond de la volière ou de la cage car son épuisement est tel qu'elle ne peut se percher.
Traitement : il y en a plusieurs.
Le plus simple : placer l'oiseau dans une cage chauffée à 28 à 30° C.
La ponte doit se faire spontanément dans les heures qui suivent.
On peut aussi dilater l'oviducte au moyen d'une pince médicale aux extrémités non-blessantes introduite en position fermée dans le cloaque.
On l'ouvre doucement pour dilater l'entrée de l'oviducte et on insère alors l'extrémité d'un thermomètre médical(là où se trouve le mercure) jusqu'à la coquille de l'œuf.
Imprimer un mouvement circulaire au thermomètre jusqu'à ce que l'œuf devienne visible.
Une troisième façon de remédier au problème est de faire couler sur l'abdomen de l'oiseau qui aura été préalablement badigeonné d'huile de table, un petit filet d'eau froide durant trente secondes environ, placer ensuite l'oiseau dans un nid contenant de l'ouate bien chaude.
Pour obtenir cette ouate chaude, on aura chauffé celle-ci durant une à deux minutes dans le four jusqu'à ce qu'elle tienne une température de 25 à 30 °C.
Pour éviter que l'oiseau ne s'enfuie, il faut couvrir le nid avec une toile.
La ponte devrait intervenir dans un délai variant entre quinze et 45 minutes.
Replacer après la ponte, l'oiseau dans sa cage en lui fournissant de la nourriture qui la revitalisera comme une bonne pâtée aux œufs.

Rhumatisme

voir Arthrite.

Rhume

voir Coryza.

S

Salmonelloses

Il s'agit d'un groupe d'infections (typhose, paratyphose, pullorose) dues à des bacilles Salmonella, et dont sont fréquemment atteints les perroquets (et les pigeons).

Septicémie

L’invasion de son sang par des bacilles pathogènes peut causer très rapidement la mort d'un oiseau.
Il est impérieux de protéger les autres habitants de la volière.

Sinusite

Agent pathogène ou Vecteur :
Symptômes : Jetage nasal; toux, respiration difficile et autre signes de difficulté respiratoire; les oiseaux se frottent la tête et les yeux sur les plumes des ailes et de la queue; sécrétion muqueuse au niveau des yeux; éventuelle dilatation du sinus ; les sinus sont plein d'exsudat gélatineux ou caséeux.
Traitement : voir un vétérinaire spécialisé en oiseaux.
Prophylaxie : éviter les courants d'air et les changements brusques de température.

Perte d'appétit et perte de poids consécutives sont les conséquences les plus graves de la maladie.

Sinusite infra orbitale du perroquet

Certains perroquets éternuent et présentent un jetage (écoulement nasal anormal) muco-purulent au niveau des narines.
En cas d'abcès volumineux, le vétérinaire excisera ou injectera des antibiotiques dans les sinus, derrière le bec, et fera au malade des séances prolongées d'aérosols et de nébulisations.

Stérilité

voir Oeufs clairs.

Streptococcies

Ces affections abattent les oiseaux et provoquent chez eux une grande somnolence.
L’issue fatale est fréquente.
Il faut prendre la précaution de désinfecter l'eau de boisson.
Traitement : Néoterramycine.

Suée

voir Entérite.

Syngamose

Cette affection (rare chez les petits oiseaux) est provoquée par un ver parasite ; elle se transmet en général à la suite de l'ingestion de vers de terre par les oiseaux insectivores (mainates, par exemple).
Elle se traduit par une gêne respiratoire, un « bâillement » et un amaigrissement alarmant.
Il est nécessaire de consulter le vétérinaire.

T

Ténias

voir Vers.

Toux, Trachéite

voir Bronchite.

Trichomonose

Les signes en sont une rougeur de la cavité buccale et l'existence de glaires gris; par la suite, on note des dépôts épais et blanchâtres dans la gorge.
L’oiseau atteint est également pris de diarrhées de couleur vert bouteille.
Traitement - Spartrix, Emtryl vétérinaire.

Tuberculose

Cette maladie peut être mortelle, mais on la rencontre rarement; de plus, le bacille tuberculeux aviaire ne peut se développer sur l'homme.
L’amaigrissement et la diarrhée en sont les signes avant-coureurs.
Elle atteint parfois les perroquets, mais est plus fréquente chez d'autres espèces (paons, faisans).
Traitement : Emtryl vétérinaire.

Typhose

Les lésions chez les oiseaux atteints de Typhose, peuvent se définir par un oedème et des foyers hémorragiques du foie, de la rate et des reins.
La mortalité est élevée et oscille entre 25 et 60%.
Agent pathogène ou Vecteur :
Symptômes : chez les adultes, une indolence profonde et une diarrhée d'une couleur de soufre.
Contagiosité :
Traitement :
Prophylaxie :
voir Salmonelloses.

V

Variole

Il s'agit d'une maladie à ultravirus extrêmement grave.
Les perroquets ont une variole spécifique (les Colombidés également).
Elle est caractérisée par l'apparition, autour des yeux, du bec, des narines, dans le fond de la gorge et sur les pattes, d'abcès noduleux et caséeux d'un blanc jaunâtre.
Il faut retirer ce pus épais et tamponner avec de la pommade.
Il existe une forme pulmonaire non moins redoutable.
La visite chez le vétérinaire est véritablement indispensable.

Vers

Rares chez les Perruches ondulées et les petits oiseaux exotiques, les vers sont fréquents chez les perruches australiennes, qui sont élevées en volière extérieure, car le sol en terre favorise le cycle évolutif des parasites.
Les Ascaridia mesurent 3 centimètres de long, les capillaires 1 centimètre (ils sont donc moins visibles).
Les ténias sont transmis par les mouches ou les sauterelles, et peuvent infester les perroquets aussi bien que les oiseaux insectivores comme les mainates.
voir aussi Ascaridia.

Vomissements

C'est le résultat d'un trouble hépatique: il faut donc administrer un draineur hépatique; mais il faut penser également à une éventuelle candidose du tube digestif.

Van-Triccoci 16000 :

- Empêche le développement des bactérie de pourriture dans les intestins
- Renforce les tissus
- Garantit une meilleure circulation du sang
- Stimule de métabolisme
- Renforce le système immunitaire
- Vitalise

Mode d'emploi : 20 gouttes par litre d'eau ou 1 cuillère à café par 3 litres d'eau :

- Durant la saison de vol : chaque lundi et mardi
- Durant la mue et préventivement : 2 jours par semaine
- En cas de maladie : cure de 5 jours consécutifs (max. 3 semaines
- Pendant l'élevage : 5 jours consécutifs
- 2 jours après le sevrage des pigeonneaux : 3 jours


Dernière modification par maloute45 ; 12/02/2016 à 18h00.
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Vieux 18/07/2012, 22h17   Afficher une version imprimable   (2)
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Re : Vademecum Maladies

Merci beaucoup Léon pour cet article qui sera utile, je pense, à un grand nombres de personnes.
Cet article sera imprimé de suite et sera conservé précieusement. Encore merci
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Vieux 18/07/2012, 22h32   Afficher une version imprimable   (3)
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Re : Vademecum Maladies

bonsoir leon,
merci pour c est informations tres precieuse


michel
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Vieux 27/09/2012, 21h52   Afficher une version imprimable   (4)
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Re : Vademecum Maladies

Bonsoir,

Je fait remonter ce petit condensé sur les maladies,qui peut aider dans certains cas les problèmes rencontrès chez nos oiseaux.
Je vous conseille de l'imprimer et de le conserver à toute fin utile.
__________________
Si vous avez des anecdotes, des suivis d'élevage, des histoires sur les oiseaux
pourquoi ne pas les partager avec nous
.

Amicalement vôtre
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Vieux 27/09/2012, 21h56   Afficher une version imprimable   (5)
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Re : Vademecum Maladies

merci leon je copie celui si aussi
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Vieux 27/09/2012, 22h24   Afficher une version imprimable   (6)
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Re : Vademecum Maladies

bonsoir .
merci leon pour ce nouvel article .je vais copier de suite
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Vieux 27/09/2012, 22h34   Afficher une version imprimable   (7)
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Re : Vademecum Maladies

Envoyé par leon62 (Voir le message)


bonsoir .
merci leon pour ce nouvel article .je vais copier de suite
Bonsoir Léon,

Pour plus de facilité,il existe une version imprimable ...à moins de mettre le texte dans les "favoris"
__________________
Si vous avez des anecdotes, des suivis d'élevage, des histoires sur les oiseaux
pourquoi ne pas les partager avec nous
.

Amicalement vôtre
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Re : Vademecum Maladies

(...à moins de mettre le texte dans les "favoris") c est ce que j ai fait
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Vieux 14/10/2012, 19h31   Afficher une version imprimable   (9)
twiny67
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Re : Vademecum Maladies


Eric tu surlignes ou tu vas en version imprimer !
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Vieux 27/03/2013, 08h13   Afficher une version imprimable   (10)
Papillon

 
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Guilaine
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Métier: Freelance
Inscription: May 2009
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Ville: Drancy
Pays: France métropolitaine
Eleveur: Canaris

bonjour
un post interessant à remonter
Papillon est déconnecté   Réponse avec citation
Vieux 27/03/2013, 13h37   Afficher une version imprimable   (11)
Adim95

 
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Adim
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Métier: ingénieur en industrie
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Messages: 1 954
Ville: Sarcelles
Département: 95 Val-d'Oise
Pays: France
STAM: 553
Club: COL
Eleveur: Canari couleur et tête rouge

Salut Léon tu pourrais m envoyer cette article par mail il est super intéressant voici mon adresse mail adim3@hotmail.fr merci d avance
Adim95 est déconnecté   Réponse avec citation
Vieux 01/03/2014, 14h15   Afficher une version imprimable   (12)
canarisfolies33

 
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breyne robert
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Métier: commerçant dans le passé
Inscription: July 2013
Messages: 460
Ville: Lille
Département: 59 Nord
Pays: France
Eleveur: couleur

Bonjour article hyper complet et hyper utile vu le nombre de renseignements (toujours égal à toi même Léon que ferait on sans ton savoir et tes écrits) Amicalement robert merci.
canarisfolies33 est déconnecté   Réponse avec citation
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