Le Zostérops oriental.
 

[B][FONT="Arial Black"][SIZE="1"][COLOR="Sienna"]LE ZOSTEROPS ORIENTAL - (Zosterops palpebrosus).[/COLOR][/SIZE][/FONT][/B]
[B][FONT="Arial Black"][SIZE="1"][COLOR="Sienna"]Appelé aussi "Oiseau à lunettes" ou "Zostérops des Indes".[/COLOR][/SIZE][/FONT][/B]

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[FONT="Arial Black"][COLOR="Gray"]Quoiqu'il ne s'agit nullement d'oiseaux aux brillantes couleurs, ils sont très populaires,
parce qu'ils sont actifs et charmants.
Ils peuvent cohabiter avec d'autres espèces, même de taille Plus petite.
Cet oiseau se reproduit de l'Afghanistan à la République populaire de Chine et au sud jusqu'en
Indonésie.
Leurs chants est doux mais mélodieux, et ils deviennent très familiers et attachants.
Ils sont les plus faciles à garder de tous les oiseaux qui se nourrissent de nectar et conviennent
donc très bien aux amateurs, qui veulent débuter avec des becs-fins.

Ils apprennent vite à se nourrir de nourriture artificielle et l'acclimatation ne pose pas de
problèmes, parce qu'ils sont de nature curieuse et intelligente et adorent inspecter tout
ce qui les entourent.

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Il faut leur présenter du nectar, des fruits et des vers de farine ainsi qu'une pâtée universelle
Chez certains négociants, on trouve aussi des granulés universels dans le commerce.
Ils n'est pas indispensable de faire une culture de Drosophiles pour les Zostérops seuls, mais
si cette nourriture leur est distribuée, il la chassent avidement.

Ils acceptent aussi de la farine de Soja et du beurre d'arachides.
En été, ils trouveront aussi dans leur volière extérieure beaucoup d'insectes, qu'ils capturent
avec dextérité.

Le chant du mâle est le seul indice sûr de son sexe, parce que les teintes des oiseaux encagés
perdent de leur éclat et que l'on ne sait donc jamais avec certitude si un oiseau aux couleurs
plus fades est une femelle.

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Un amateur anglais a essayé de garder des Zostérops en liberté, ils voletaient dans son jardin,
mais venaient toujours se nourrir du nectar présenté en tubes.
Dans un poirier, le couple a construit un nid en forme de cocon, il était suspendu à la fourche
d'un rameau et fait au moyen de brins d'herbe et de fibres, bien agglomérés avec des toiles
d'araignées.

Les deux parents ont couvés alternativement.
Un beau jour, le mâle avait disparu et la femelle était seule à nourrir ses jeunes nés entretemps.
Comme l'amateur avait encore un mâle en volière, il a libéré celui-ci qui, contre toute attente,
a pris la place du père disparu.
Un seul jeune a été élevé.
[U][SIZE="1"] Source de cette anecdote : "Avicultural Magazine, Année 1962 - N° 2" .[/SIZE][/U]

m@loute45.




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