Merci Marcel et Daniel.

Ce matin mon Timbrado est encore vivant mais agonise les pattes en l’air sur le dos. C’est atroce. Si j’avais de l’éther j’abrégeai cette agonie absurde.

A mes jeunes j’ai concassé du mélange de graines dans un moulin à poivre, mis de la pâte fraîche et mis de l’œuf dur. Ils ont du millet aussi et aujourd’hui, des perles morbides (1 fois par semaine) Je les ai vu picorer ce matin. Pour l’œuf c’est nouveau pour eux, je vais voir s’ils y touchent.

Je pense que cela devrait aller. Ils resteront dans la cage de reproduction le plus longtemps possible, avec leur mère, qui couve. Ils iront avec mon autre mâle en petite volière au plus tard quand ma femelle aura ses nouveaux oisillons (d’ici 12 jours si les œufs sont fécondés) histoire qu’elle soit tranquille pour s’occuper de sa nouvelle couvée. Mon autre mâle est tranquille, tout paisible donc je pense qu’il sera cool avec eux, enfin je l’espère

Quelle tristesse et quel dommage de perdre mon Timbrado. C’est tout vide chez moi sans lui, sans son chant. Il était beau, bon père et rigolo. Je suis dégoûtée