Au Paradis des Canaris - Le Colin arlequin.

LE COLIN ARLEQUIN - (Cyrtonyx montezumae).

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Les sujets de cette espèce appartiennent généralement à la race
du Nord Mexicain "Cyrtonyx mearnsi" qui habite la région Sud-Ouest
des états -Unis, jusqu'au abord du Mexique.
On en connaît 7 variétés.

Ces Colins sont de vrais oiseaux terrestres, et donc, très aptes à
cohabiter avec d'autres oiseaux, comme par exemple d'autres Cailles
naines.
Malheureusement, ils ne prospèrent que dans un climat chaud et sec, et
conviennent donc moins bien pour habiter nos volières.
Il vaut mieux les loger en volière intérieure dès l'automne et tout au
long de l'hiver, afin de les préserver des gelées nocturnes.
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Leurs courtes pattes, mais robustes sont pourvues d'ongles acérées
qui leur facilitent le déterrement des tubercules dont ils se nourrissent.
En cas de danger, ils s'aplatissent à l'endroit où ils se trouvent et en se
fiant complétement à leur robe aux teintes protectrice de camouflage.
Cette manière étrange, n'est pas du tout une sottise, puisque cette espèce
en devient pratiquement invisible et forme donc un mauvais sujet pour
la chasse.
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Le cri rappelle un peu celui du Hibou.
On ne les trouvent que très rarement chez l'amateur, quoiqu'ils aient été
importés dès le début de notre siècle, dans les dernières années les
importations sont devenues fort rares.
Il semble qu'on les confonde parfois avec la "Caille Arlequin"
(Coturnix delegorguei) originaire de l'Afrique, et dont le dessin de la tête
ressemble quelque peu au dessin du Colin Arlequin (G. M. Sulton) dans son ouvrage "Mexican Birds"

Remarque :
Les mangeoires et les augets pour l'eau de boisson doivent être fixés au treillis
de la volière, sinon ces oiseaux qui adorent gratter la terre, mettrons tout sens
dessus dessous !