maloute45
09/07/2016, 21h17
LE TARIN NOIR OU CHARDONNERET NOIR
SUPERBE OISEAU SUD-AMERICAIN, LOIN D'ÊTRE FACILE....
107931
Le Tarin noir selon les une Chardonneret noir (Carduelis atratus ou Spinus atratus.) selon les autres
est un oiseau attrayant qui nous vient de l'Amérique du Sud.
Les miroirs alaires jaunes et les zones de la même couleur situées sur le dessous de la queue
et sur le bas-ventre contrastent énormément avec le reste du corps noir.
La femelle possède aussi un tel patron mais ses couleurs sont plus ternes et elles sont moins
noire dans l'ensemble.
Le premier résultat connu de l'élevage du Tarin noir a été enregistré au Royaume-Unis en 1952.
Il est difficile de traiter d'autres résultats car leur évaluation n'à pas fait l'objet de mentions
dans " Foreign Bird Federation's Breeding register" jusqu'à maintenant.
Il est toutefois indéniable que le Tarin noir à fait l'objet d'élevages européens.
107929 107930
BirdLife International (2010) qualifie le chardonneret noir de non menacé mais trois menaces
pèsent sur cette espèce : une maladie assez récente mais surtout les captures massives
d’oiseaux sauvages et la dégradation de l’habitat (CONAF – CONAMA 1997, 2002) occasionnant
un déficit des sites de nidification.
En effet, une nouvelle coccidiose provoquée par des protozoaires intestinaux a été découverte
chez le Chardonneret ou Tarin noir.
Cette grave infection, occasionnant une très importante mortalité (97 %), a été observée sur
98 Chardonnerets noirs importés en Italie en provenance d’Amérique du Sud.
Les oiseaux mourraient entre deux et quatre mois après leur arrivée en août 1994.
Les auteurs pensent que son habitat d’altitude le rend très sensible à diverses maladies
intestinales des régions basses.
Ce protozoaire appartenant au genre Isospora était encore inconnu, il a été décrit et nommé
Isospora atrata (Rossi et al. 1996).
Les coccidioses se développent à la suite de stress.
Généralement les oiseaux sont porteurs mais vivent avec sans problème.
En revanche, à la suite de captures ou de transport, leur nombre peut exploser et tuer l’oiseau.
C’est un problème que l’on connaît chez tous les passereaux.
Il n’est pas dit que cette maladie représente réellement un problème en milieu naturel.
Par contre, elle peut être dissuasive pour la capture et l’exportation de cette espèce...ce qui
est un bien.
Les deux cas de nidification cavitaire semblent montrer les premiers signes d’une pénurie de
sites de reproduction.
Par ailleurs, comme le Chardonneret rouge avec le « facteur rouge », le Chardonneret noir a
été exploité pour sa pigmentation dans le but d’obtenir des canaris noirs d’où une demande
croissante, depuis la fin des années 1990, d’importation de Chardonnerets sauvages de la
part des aviculteurs.
Ces importations ont généré des prélèvements inconsidérés pour alimenter ce marché.
De nombreux éleveurs voulaient être les premiers à créer le « canari noir » tandis que
d’autres voulaient apporter régulièrement du « sang neuf » dans leurs lignées d’élevage.
Environ 4 000 Chardonnerets noirs sauvages sont exportés légalement tous les ans (environ
2000 illégalement) à partir du Pérou et seulement deux spécimens sur cent survivent au
stress de la capture et du transport.
Ces chiffres sont purement et simplement scandaleux et à ce rythme, si rien n’est entrepris,
l’espèce est vouée à l’extinction
SUPERBE OISEAU SUD-AMERICAIN, LOIN D'ÊTRE FACILE....
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Le Tarin noir selon les une Chardonneret noir (Carduelis atratus ou Spinus atratus.) selon les autres
est un oiseau attrayant qui nous vient de l'Amérique du Sud.
Les miroirs alaires jaunes et les zones de la même couleur situées sur le dessous de la queue
et sur le bas-ventre contrastent énormément avec le reste du corps noir.
La femelle possède aussi un tel patron mais ses couleurs sont plus ternes et elles sont moins
noire dans l'ensemble.
Le premier résultat connu de l'élevage du Tarin noir a été enregistré au Royaume-Unis en 1952.
Il est difficile de traiter d'autres résultats car leur évaluation n'à pas fait l'objet de mentions
dans " Foreign Bird Federation's Breeding register" jusqu'à maintenant.
Il est toutefois indéniable que le Tarin noir à fait l'objet d'élevages européens.
107929 107930
BirdLife International (2010) qualifie le chardonneret noir de non menacé mais trois menaces
pèsent sur cette espèce : une maladie assez récente mais surtout les captures massives
d’oiseaux sauvages et la dégradation de l’habitat (CONAF – CONAMA 1997, 2002) occasionnant
un déficit des sites de nidification.
En effet, une nouvelle coccidiose provoquée par des protozoaires intestinaux a été découverte
chez le Chardonneret ou Tarin noir.
Cette grave infection, occasionnant une très importante mortalité (97 %), a été observée sur
98 Chardonnerets noirs importés en Italie en provenance d’Amérique du Sud.
Les oiseaux mourraient entre deux et quatre mois après leur arrivée en août 1994.
Les auteurs pensent que son habitat d’altitude le rend très sensible à diverses maladies
intestinales des régions basses.
Ce protozoaire appartenant au genre Isospora était encore inconnu, il a été décrit et nommé
Isospora atrata (Rossi et al. 1996).
Les coccidioses se développent à la suite de stress.
Généralement les oiseaux sont porteurs mais vivent avec sans problème.
En revanche, à la suite de captures ou de transport, leur nombre peut exploser et tuer l’oiseau.
C’est un problème que l’on connaît chez tous les passereaux.
Il n’est pas dit que cette maladie représente réellement un problème en milieu naturel.
Par contre, elle peut être dissuasive pour la capture et l’exportation de cette espèce...ce qui
est un bien.
Les deux cas de nidification cavitaire semblent montrer les premiers signes d’une pénurie de
sites de reproduction.
Par ailleurs, comme le Chardonneret rouge avec le « facteur rouge », le Chardonneret noir a
été exploité pour sa pigmentation dans le but d’obtenir des canaris noirs d’où une demande
croissante, depuis la fin des années 1990, d’importation de Chardonnerets sauvages de la
part des aviculteurs.
Ces importations ont généré des prélèvements inconsidérés pour alimenter ce marché.
De nombreux éleveurs voulaient être les premiers à créer le « canari noir » tandis que
d’autres voulaient apporter régulièrement du « sang neuf » dans leurs lignées d’élevage.
Environ 4 000 Chardonnerets noirs sauvages sont exportés légalement tous les ans (environ
2000 illégalement) à partir du Pérou et seulement deux spécimens sur cent survivent au
stress de la capture et du transport.
Ces chiffres sont purement et simplement scandaleux et à ce rythme, si rien n’est entrepris,
l’espèce est vouée à l’extinction