maloute45
02/04/2009, 12h29
Son nom scientifique est "Agapornis Liliane"
Cette espèce était déjà bien connue en 1864,mais à cette époque on pensait qu'ils étaient apparenté à
l'Agapornis Roseicollis.
C'est en 1894 que Shelley l'a classé comme espèce séparée.
Le nom "Liliane" lui a été attribué par égard à Lilian Sclater,soeur de l'ornithologue W.L.Sclater.
Ils ont été introduit pour la première fois en Europe en 1926 et le premier résultat d'élevage survint quelques années plus tard.
La reproduction de cette espèce est plus délicate que les précédentes (voir article précédent),sans
toutefois être très difficile.
Il n'est pas rare qu'une bonne partie des jeunes périssent lors de la mue juvénile.
Pour essayer de solutionner ce problème,les éleveurs ont croisé cette espèce avec le Fischer (de nouveaux de hybrides...).
Description :
* Taille : 13,5 cm du front au bout de la queue.
* Plumage général vert,un peu plus foncé aux parties supérieures.
* Front,vortex,joues,menton et gorge : orange rouge clair s'étendant au-delà des yeux et devenant jaune olive à l'occiput puis finalement vert clair à la nuque.
* Bec rouge,plus clair vers la base ceinturée de blanc.
* Croupion vert sans trace bleuâtre.
* Les rectrices sont vertes avec le bout plus clair. - Les rectrices externes ont en leur milieu
un dessin orange jaunâtre et noir.
Mutations :
Quelques mutations connues chez le Personata sont rarement présentes chez le "Liliane".
Les Liliane mutants de race impure sont facilement reconnaissable dans la série verte,car ils présentent des
traces de bleu au croupion.
Par contre,dans la série bleue,la détection devient beaucoup plus ardue.
Bien que la mutation "Ino" soit apparue chez cette espèce,elle y est devenue très rare.
conclusions :
Nous avons passé en revue les Inséparables à Cercle oculaires,les Masqués,les Fischer,les Joues
noires et les Liliane,ces magnifiques oiseaux peuvent présenter une gamme tellement étendue
de couleur qu'il devient très difficile de reconnaître certaines d'entre-elles.
En effet,les Amateurs accouplent toutes les mutations entre elles et certains résultats deviennent indéfinissables.
Il est grand temps que l'on comprenne que l'on ne saurait élever de bons sujets d'exposition que
si la couleur est parfaitement définissable et que le sujet est de race pure.
Pour parvenir à un tel résultat,il faut absolument avoir recours à des sujets de couleur sauvage,
éventuellement porteur de la couleur que l'on désire obtenir.
Nous savons que plusieurs mutations sont situées sur le gène responsable de la mutation ino.
Il est donc compréhensible que la combinaison de deux mutants différents de ce gène donnera des sujets intermédiaires qui ne peuvent être primés en exposition.
J'ai omis volontairement de citer les mutations panachées,car toute forme de panachage
est proscrite chez tous les becs crochus !!!
Cette espèce était déjà bien connue en 1864,mais à cette époque on pensait qu'ils étaient apparenté à
l'Agapornis Roseicollis.
C'est en 1894 que Shelley l'a classé comme espèce séparée.
Le nom "Liliane" lui a été attribué par égard à Lilian Sclater,soeur de l'ornithologue W.L.Sclater.
Ils ont été introduit pour la première fois en Europe en 1926 et le premier résultat d'élevage survint quelques années plus tard.
La reproduction de cette espèce est plus délicate que les précédentes (voir article précédent),sans
toutefois être très difficile.
Il n'est pas rare qu'une bonne partie des jeunes périssent lors de la mue juvénile.
Pour essayer de solutionner ce problème,les éleveurs ont croisé cette espèce avec le Fischer (de nouveaux de hybrides...).
Description :
* Taille : 13,5 cm du front au bout de la queue.
* Plumage général vert,un peu plus foncé aux parties supérieures.
* Front,vortex,joues,menton et gorge : orange rouge clair s'étendant au-delà des yeux et devenant jaune olive à l'occiput puis finalement vert clair à la nuque.
* Bec rouge,plus clair vers la base ceinturée de blanc.
* Croupion vert sans trace bleuâtre.
* Les rectrices sont vertes avec le bout plus clair. - Les rectrices externes ont en leur milieu
un dessin orange jaunâtre et noir.
Mutations :
Quelques mutations connues chez le Personata sont rarement présentes chez le "Liliane".
Les Liliane mutants de race impure sont facilement reconnaissable dans la série verte,car ils présentent des
traces de bleu au croupion.
Par contre,dans la série bleue,la détection devient beaucoup plus ardue.
Bien que la mutation "Ino" soit apparue chez cette espèce,elle y est devenue très rare.
conclusions :
Nous avons passé en revue les Inséparables à Cercle oculaires,les Masqués,les Fischer,les Joues
noires et les Liliane,ces magnifiques oiseaux peuvent présenter une gamme tellement étendue
de couleur qu'il devient très difficile de reconnaître certaines d'entre-elles.
En effet,les Amateurs accouplent toutes les mutations entre elles et certains résultats deviennent indéfinissables.
Il est grand temps que l'on comprenne que l'on ne saurait élever de bons sujets d'exposition que
si la couleur est parfaitement définissable et que le sujet est de race pure.
Pour parvenir à un tel résultat,il faut absolument avoir recours à des sujets de couleur sauvage,
éventuellement porteur de la couleur que l'on désire obtenir.
Nous savons que plusieurs mutations sont situées sur le gène responsable de la mutation ino.
Il est donc compréhensible que la combinaison de deux mutants différents de ce gène donnera des sujets intermédiaires qui ne peuvent être primés en exposition.
J'ai omis volontairement de citer les mutations panachées,car toute forme de panachage
est proscrite chez tous les becs crochus !!!